Tournons La Paz.

                                                                                 J'ai enfin dessoûlé, décidément le spring break m'a transformé en véritable outre. Que dis-je, en barrique. Bref j'en ai soupé de la tequila. Plutôt que de rentrer directement à Clermont-Ferrand comme le Teckel m'en a intimé l'ordre, je décide de faire un crochet par la Bolivie car le pays est actuellement en guerre civile. Mais bien entendu personne n'est au courant. Pas même le chantre national de l'info : PPDA.

       La Bolivie est un pays sauvage peuplé en majorité d'amérindiens. Comme on pouvait s'y attendre aux vue de l'expérience nord-américaine, ces cruels autochtones n'acceptent pas la présence de l'homme blanc sur leur territoire.

       Les cruels peaux-rouges attaquent les vieilles filles dans la rue pour les détrousser... Et les plus jeunes pour les trousser. L'augmentation du nombre de castrat est flagrante car les néo-révolutionnaires, s'inspirant de nos bandits de grand chemin, usent de la phrase désormais classique: "Les bourses ou la vie".

       D'ailleurs on ne sait pas trop comment ils y sont parvenus mais ce sont les indiens qui sont au pouvoir. D'ailleurs les trois provinces non-indiennes ont fait sécession dans le plus grand respect de la démocratie. Bon le seul hic pour elles c'est que les ressources naturelles sont du mauvais coté. La Bolivie possède une importante réserve d'hydrocarbures qui a d'ailleurs été nationalisé pour le plus grand malheur des sociétés pétrolières, dont Total...

       De plus les amérindiens ne sont décidément pas très bon joueurs puisqu'ils ont gardés pour eux seuls la station balnéaire locale : le lac Pipicaca.